01 / 04 / XX08 - Cher journal,
Je me suis, à ce jour, jamais présentée. Je suis donc Anuki La, une meurtrière de haut niveau. Mon petit-ami ma conseiller de me confier à quelqu'un et comme je n'ai pas d'amis... voilà. A côté de moi, mon seul compagnon, ma seule amie, Primrose. Bref, je vais donc raconter mon histoire, en commençant par mes meurtres.

Donc, ma 1ère victime, je ne me souviens plus de son nom ! C'est un vieux gâteux, un ancien chanteur mais c'est pas ça qui va m'arrêter ! Je me suis invitée chez lui et il est tombé immédiatement sous mon charme. Normal, non ? Il a donc commencé à me draguer !

J'en étais complètement dégoûtée mais c'est mon travaille, non ? Et puis j'ai un rituel chez moi : Drague, Lit, Mariage, Meurtre ! Le mariage c'est pour gagner de l'argent ! C'est donc ce qui s'est passé...

J'ai ensuite réussi à passer à l'étape suivante ! Je me suis sentie vraiment très sale sur le moment mais... c'est mon boulot ! Je suis resté toute la nuit chez lui et on est ensuite aller chez moi !

Là, grande surprise, il m'a demandé en mariage ! Mon plan s'est déroulé comme prévu, en moins de temps que prévu.

Ce soir je passe à l'acte...

*Le soir, dans la tête du vieux*
Je suis allée me coucher, j'étais désormais marié et très très heureux ! Avec une femme jeune, magnifique et pété de tune ! En plus de ma richesse, on devenait les plus riches de la ville ! Mais voilà, il faisait nuit, je dormais mais j'ai eu une soudaine envie d'aller aux toilettes ! Je me suis donc réveillé puis levé, quand... PAN !

15 / 04 / XX08 - Cher journal,
Voilà déjà quelques semaines que je tue du même mode opératoire et je ne me suis pas encore fait attraper, en même temps je prends bien soin de nettoyer et mon petit-ami se charge de cacher le corps. Ma dernière victime a été une femme, elle a emménagé très vite chez moi quand elle m'a dit qu'elle n'avait pas beaucoup d'argent, je l'ai très mal pris et la balle est partis toute seule.

Mais je ne regrette pas, je ne regrette jamais mes actes. En ayant tué cette femme, j'ai pu revoir mon petit-ami. Je ne l'ai pas dit, mon petit-ami apparait dès que je tue quelqu'un, c'est pour cette raison que je tue. C'est le seul qui me comprends, le seul qui aime voir les gens souffrir tout comme moi, le seul prends un malin plaisir à regarder une scène de crime, bref, c'est la mort.

Il m'a pris les mains, et il m'a dit doucement :
Mort : Tu devrais faire plus attention, j'aimerai pas que tu te fasse attraper...
Anuki : T'inquiète, je gère !
Mort : Non, je veux que tu fasses plus attention !
Anuki : Et qu'est ce que tu veux que je fasse ?
Mort : Entre dans la police. Ils ne pourront jamais te soupçonner.
Anuki : hum... oui si tu veux.
Mort : Ecoute, ce que je vais te dire... *blablabla*
Anuki : D'accord !

J'ai écouté ce qu'il m'a dit, je suis rentré dans la police et les policiers m'ont trouvé tellement extraordinaire qu'ils m'ont promue agent spécial ! Maintenant, ils n'ont aucune chance de m'avoir ! Surtout si je commence par les éliminés...

19 / 04 / XX08 - Quelques jours plus tard, j'ai tué une autre personne qui sous son allure de geek était un sale voleur !

Plus tard, j'ai tué une autre personne qui sous son allure de geek était un sale voleur !
08 / 05 / XX08 - Plus tard, j'ai invité une collègue de travail chez moi, pour la tuer. J'ai pris un malin plaisir à lui tirer dessus lorsqu'elle est rentrée dans le salon ! Voir la balle se loger dans sa poitrine et la voir tomber par terre, ma procurer un grand plaisir !

Cher journal,
Une policière est venue chez moi m'interroger, je lui ai alors dit tout ce qui c'était passé en détails !
Policière : Où était-tu la nuit où cette agent a été tué ?
Anuki : Tu me suspecte, c'est la meilleure celle-là ! (rire) Mais comme je n'y suis pour rien, je vais tout te raconter en détails bien sur ! Cette nuit là, j'étais chez moi, avec elle. Alors qu'elle m'attendais dans le salon pendant que j'étais aller chercher des rafraichissements, j'ai entendu un coup de feu puis un claquement de porte, le temps que j'arrive il était trop tard... et j'ai vu la voiture du malfrat partir... je... *commence à pleurer* il... il y avait plein de sang... et... je t'ai appelé...
Policière : Oh... excuse-moi... c'était vraiment bête de ma part de vouloir t'interroger !
Anuki : Non non, c'est pas grave... *essuie ses larmes*
Policière : Pour te remonter le moral, que dirai-tu que je te paye un verre ?
Anuki : Oui, merci, c'est gentils..

Le soir nous sommes donc aller dans un bar du quartier, cette femme a déjà eu le culot de me suspecter, il faut pas que ça aille plus loin ! J'ai alors trouvé un bon plan pour la tuer...
Les lumières se sont éteintes, un coup de feu a retenti, je me suis évanoui et la lumière s'est rallumée. Là son corps plein de sang s'écrasait sur le sol...

Une personne m'a "réveillé" (Ben oui, je faisais la comédie !) et je me suis empressé d'aller voir mon supérieur pour lui raconter la scène "épouvantable" que je venais de voir !
Anuki : Bonsoir M. ! Excusez-moi de venir si tard et chez vous en plus mais une autre policière a été tué !
Supérieur : Comment ça ?
Anuki : C'était horrible ! Elle m'avait proposait d'aller boire un verre dans un bar, nous y sommes donc allé. Peu de temps après les lumières se sont soudainement éteintes et un coup de feu a retenti. A se moment je me suis évanouie... oui je sais, se n'est pas digne d'un agent telle que moi mais...
Supérieur : Ce n'est pas grave, ça n'aurait rien changé si tu t'étais ou non évanouie...
Anuki : Je vais vous faire la liste des gens qui était là-bas pour les interroger !
Je lui ai fait la liste et suis partie.

En rentrant j'ai eu une très mauvaise surprise. Ma 1ère victime m'attendait dans ma chambre ! J'ai commençait à avoir peur, je me demandais pourquoi il était revenu.
Anuki : Mais qu'est ce que tu fais là ?! Pourquoi t'es revenu ?!
Victime : Je voulais juste une explication.
Anuki : NON ! Va t-en immédiatement ! Tu va faire foirer mon plan !
Victime : Ton... plan... ?
Un grondement provenant du garage nous a coupé net dans la "discussion" et l'a renvoyé dans le monde des morts. Je suis donc allée voir se qu'il se passer.

Quand je suis rentrée dans le garage, 3 hommes armés se tenez devant moi...

10 / 05 / XX08 - Cher journal,
3 hommes sont venus chez moi. Ces 3 hommes sont mon patron et ses collaborateurs. J'espère qu'ils ne sont pas venus me tuer à leur tour...
Anuki : Qu... que faites-vous ici ?!
Patron : Tu avais une mission, poupée...
Anuki : Oui, je sais. Je suis en se moment en train de l'effectuer.
Patron : Tu es trop lente, tuer tous les habitants d'une ville ne prends pas 100 ans !
Anuki : Je suis tueuse à gage, pas magicienne.
Patron : Prends pas t'es grand air avec moi, poupée.
Anuki : Si t'es venu rien que pour me dire ça, tu peux t'en aller.
Patron : Allez, c'est bon poupée ! Je te dis juste que tu as un délai à respecter.
Anuki : Arrête de m'appeler comme ça !
Patron : Je veux que tous les gens soit meurt après demain, poupée.
Anuki : Ok. Sur ce je vais dormir, vous pouvez partir.
Patron : mon bisou ?
Anuki : Tu le met où je pense ! *pars*
Mon patron s'appelle Isaac, et il est fou de moi. Quant à ses collaborateurs, Taj et Wayne, ils ne parlent pas beaucoup mais doivent cacher un lourd passé..

11 / 05 / XX08 - Le lendemain je suis passé à l'action, en commençant par un bar rempli de gens que j’ai fait explosé. Ensuite je suis allée à un Simfest, j'ai réussi à tous les tuer en un coup de sabre. Et en dernier je me suis incrustée dans une maison avec seul intention de les fusiller. Le lendemain matin je regarde le journal.

12 / 05 / XX08 -Hier soir, une explosion a eu lieu dans un bar branché du quartier où s'était réuni une vingtaine de personnes. Nombre de victimes : 20 - Nombre de survivant : 1
Le survivant a bien voulu répondre à quelques questions.
- Vous étiez aussi dans le bar. Comment vous en êtes vous sorti ?
- Je dois sans doute avoir de la chance, j'étais en train de partir et l'explosion a commencé par l'arrière du bâtiment donc j'ai eu le temps de me faire que quelques blessures.
- Avez-vous pu voir un quelconque suspect ?
- Non pas du tout, j'étais trop en état de choque pour regarder si le tueur était là.
- Que pensez-vous de la police ?
- Ce sont des incapables, c'est pourquoi je vais me chargé de trouver ce malfrat et lui passer les menottes.
 - Très bien, merci beaucoup d'avoir témoigner espérant que cela n'attirera pas votre mort.

L'explosion a été suivi de près par le massacre d'une quinzaine de personnes venu assister et/ou participer à un Simfest.
Nombre de victimes : 15 - nombre de survivant : 0

Dans la nuit, 8 colocataires ont été retrouvé tous une balle dans la tête, jaillissant le sang.
Nombre de victimes : 8 - Nombre de survivant : 0

Ceci est le dernier journal que nous publierons, nous ne comptons que 6 survivant dans la ville, en espérant  qu'ils ne s’entretueront pas. Sur ce, nous vous conseillons de prendre exemple sur nous et de vous enfuit de cette ville maudite !
Adieu, chers lecteurs...

J'ai passé la nuit à tuer des gens, avec un total (et record) de 48 personnes.
Demain c'est la fin.

13 / 05 / XX08 - Cher journal,
Maintenant est la fin, la fin d'un combat acharné ou simplement a fin d'une mission. Il m'aura fallut à peut près 1 mois pour venir à bout d'une ville avec un flingue, un sabre et un explosif. Je pense, et c'est bizarre, que personne ne m'ait soupçonné, sauf si c'est parce que je suis une femme.. Enfin bref, je vais de ce pas dire la vérité au dernier agent de police avant de mettre fin à ses jours.

J'ai sonné et est défoncé la porte. Quand il m'a vu, il a écarquille les yeux. Je crois qu'il ne s'attendait pas à me voir si tôt avec un pistolet à la main prête à lui tirer dessus.
Lui : Qu... Je ne comprends pas...
Anuki : Il n'y a rien à comprendre, je suis la meurtrière.
Lui : Non... ce...
Anuki : Je vous ai menti et menais en bateau, maintenant vous allez mourir.
Lui : Mais... pourquoi ? Qu'est ce que cela vous rapporte ?!
Anuki : Le plaisir de voir mon petit-ami ?
PAN !
[Il me manque un screen que j'ai perdu ...]
J'en ai eu marre de lui parler, de voir sa tête de désespérée, maintenant il est mort, c'est une bonne chose de faite. Il faut que je contacte mon patron.
Anuki : *compose le numéro*
? : Allô ? Ici Wayne.
Anuki : Anuki à l'appareil, puis-je parlais à Isaac ?
Wayne : Il est actuellement occupé, je peux lui passer un message.
Anuki : D'accord, dites-lui que le cerveau est mort.
Wayne : Très bien. Il vous demande de venir nous rejoindre dans le vieux
entrepôt abandonné.
Anuki : J'arrive tout de suite.

J'ai pris une voiture, comme celles qu'on voit dans les films, et me suis rendue au vieux entrepôt abandonné. Avant de rentré à l'intérieur, j'ai imaginé toutes les solutions possible de ce qui allait se passer. La plus probable est qu'il me tue après m'avoir fait part de ma naïveté. La plus dégoûtante est qu’il me viole avant de ma tuer... Bref, je ne dois pas penser négatif ! Ça va bien se passer ! Je décide d'entrer après quelque minute de doute et de peur.

A peine entrer, je les vois, mais ils ne sont pas seuls, un homme est attachée à une chaise et il est très mal en point. Isaac et ses hommes pointent leur pistolet sur lui et Isaac crie :
Isaac : Sale chien ! Qui es-tu pour vouloir m'arrêter ?! Tu n'es qu'un môme qui crois trop en ses rêves et qui veut devenir un super héros ! Tu veux sauver ta ville ?! Trop tard ! Tu es l'unique survivant et je vais me faire un plaisir de t'abattre ! Non attend ! Ma poupée va le faire pour moi !

A se moment précis, l'homme à tourner lentement sa tête vers moi, comme au ralenti, mon cœur a cessé de battre, et une sorte d'éclair ma traverser le corps. Des larmes ont commencé à couler.

Isaac : Poupée ?
Anuki : Je suis désolée...
Isaac : Hein ?!
Anuki : Je ne peux pas...
Isaac : Comment ça tu ne peux pas ?! Si tu ne tue pas cette ordure tout de
suite, je te tuerais avant ! Tu entends ?!
Je ne contrôle plus rien, mes larmes continus de couler, je prends mon arme, la
tend et tire 3 balles. PAN ! PAN ! PAN !

20 / 05 / XX08 - Cher journal,
Je me réveille, je suis dans un lit, une chambre, mais ce n'est pas la mienne. Je ne sais pas où je suis, qu'est ce que je fais là, pourquoi, comment, ce qu'il se passe ! Mais bon sang, trop de questions se pose dans ma tête, il me faut des réponses et vite ! J'essaie de me calmer et réfléchis... Qu'elle est la dernière chose que j'ai faite ? Et puis je me souviens : l'entrepôt, les trois hommes, l'homme attaché et moi qui tire, puis le trou noir. D'un coup la porte s'ouvre, et m'arrache de mes pensées. Et là, je le vois, l'homme qui était attaché.

? : Oh tu es réveillé !
Anuki : ...
? : Je m'appelle Zakarya.
Anuki : ...
Zakarya : Tu as perdu ta langue ?
Anuki : D... désolé... mais je ne comprends pas...
Zakarya : Je t'ai sauvé la vie.
Anuki : Quoi..?!
Il est venu s'assoir au près de moi et a commencé à tout m'expliquer.

Zakarya : Au moment où tu as tiré, Isaac a eu le temps de tirer une balle à son tour sur toi qui s'est logé dans ton bras.
Effectivement, j'ai relevé ma manche et regardé mon bras, il y avait un bandage avec un peu de sang tout autour.
Zakarya : Tes trois balles ont finis dans la tête des trois hommes mais quand tu as tiré Isaac à dit "De toute façon, c'est trop tard." puis s'est écroulé sur le sol en crachant du sang. Tu t'es évanouie, et c'est là que j'ai entendu le bruit d'une bombe. J'ai compris qu'elle allait bientôt exploser. Heureusement, j'avais réussi à cacher un couteau, j'ai donc pu me libérer. Je t'ai pris sur mon épaule et nous est sorti de là juste avant que ça explose.

16h - Zakarya : Pour finir, je t'ai amené chez moi pour te soigner, tu dors depuis une semaine.
Anuki : Pourquoi tu m'as sauvé ? Pourquoi ne pas m'avoir laissé mourir là-bas ? J'ai tué tout le monde !
Zakarya : Je sais pas, j'ai pas pu... Mais un merci m'aller aussi !
Anuki : Désolé... merci beaucoup... Mais... il ne reste que nous maintenant... ?
Zakarya : Oui.
Anuki : Ah...
Zakarya : Comment une fille aussi mignonne que toi peux être une meurtrière ?
Anuki : Q-Quoi ?! Je... je suis désolé, je dois rentrer chez moi ! Merci de m'avoir sauvé !
Zakarya : Reviens ! Tu es encore blessée !
Je suis partie en courant, je ne pouvais plus le regarder, un seul regard sur lui me faisait exploser le cœur, je n'avais jamais ressentis une telle émotion, je ne sais pas ce qu'il m'arrive... J'ai couru jusqu'à arrivé près d'un coin paumé avec un étang et me suis assise contre un arbre pour réfléchir.

20 / 05 / XX08 ~ 19h - Cher journal,
J'ai du rester assise par terre au mois trois bonnes heures. J'ai pu réfléchir à la situation mais je ne suis pas sur.. Suis-je tombée amoureuse de cet homme ? Ce n'est pas possible, je sors avec la mort ! LA MORT ! Si je lui dis que c'est fini entre nous... je suis morte. Et surement d'en d'horribles souffrances. D'un coup, une fois de plus, je le vois arriver vers moi et je reste figé par lui. Sa beauté. Son charisme. Il s'agenouille à côté de moi.

Zakarya : Je t'ai enfin retrouvé !
Anuki : Alors tue-moi.
Zakarya : Quoi ?! Mais tu vas pas bien ma parole ! Je ne veux pas te tuer !
Anuki : Pourquoi ? J'ai bien du tué ta famille ou tes amis !
Zakarya : ...
Anuki : Tu vois !
Zakarya : Mes parents m'ont abandonné quand j'avais 5 ans... et je viens d'arriver, je n'ai pas d'amis.
Anuki : Oh désolé... pardon, je m'appelle Anuki.
Nous avons continué de parler pendant très longtemps et pour une fois depuis 15 ans je me suis mise à rire et sourire, je me sentais bien avec lui.

A un moment on s'est levé, il commençait à se faire tard et il m'avait invité à rester chez lui en tant que dernière survivante. Mais quand je me suis levée, je me suis sentie être plaquée contre un arbre. Puis ses lèvres se sont posé contre les miennes, j'ai sentis les battements de son cœur et la chaleur de son corps. C'était la plus belle nuit de ma vie.

Il me chuchota un "Désolé, je n'ai pas pu m'en empêcher" mais on alla plus loin. Je me laissais faire en pensant qu'il ne se passerait rien de plus, j'avais tord, très vite je n'arrivais plus à ma contrôler et il me souleva. Je me sentais bien, je me sentais volé même si je savais que je faisais une grosse erreur. Peut-être la pire et la dernière de ma vie. Il commença par enlever sa veste et je fis pareille. Jusqu'à que nous soyons totalement dénudé. Notre rythme s'accélérait, j'en prenais du plaisir s'en rien contrôler, je sentais son souffle de plus en plus vite sur mon coup. Et je ne ressentais même plus la douleur de ma blessure.

Je venais, surement, de passer le moment le plus extraordinaire que je n'avais jamais vécu. En fait en y repensant, ce ne pouvait être qu'un merveilleux rêve un peu pervers sur les bords. Pourtant, je me réveillai à l'aube, malgré la rosée du matin qui avait rafraichi l'atmosphère, sentant de la chaleur contre mon corps. Tout cela n'était pas un rêve, je me réveillai dans les bras de l'homme le plus beau de la Terre, Zakarya. Maintenant je peux le dire : Je suis amoureuse.

21 / 05 / XX08 - Cher journal,
Peut-être que ceci était juste le destin. Le fait que j'ai tué tout le monde et qu'on se retrouve, tous seuls, tous les deux, à le faire près d'un étang. Pourtant je commence à regretter. Je risque de mourir pour ça.
Je vérifie que Zakarya dort bien à point fermé pour me déshabiller et aller me baigner nu dans l'étang. J'entre dedans, l'eau est particulièrement chaude pour un matin de printemps.

Je contemple le paysage, j'écoute les oiseaux qui chantent, les poissons qui retombent dans l'eau, le murmure des arbres et le souffle du vent. Je me mets à penser que cet endroit est magique. Tout est si calme et apaisant. Je n'ai jamais ressentis une si grande sérénité. S'en m'en rendre compte, Zakarya arrive dernière moi, tout aussi nu. Il me prend dans ses bras doucement et romantiquement. Je sais que je ne devrais pas le laisser faire mais je ne veux pas gâcher un moment aussi beau. Puis, sentir son corps contre le mien et la chaleur de son être me remplie de bonheur.

Après quelques minutes sans dire un mot et sans bouger, je me décide à rompre se moment magique. Je me retourne et il commence à vouloir m'embrasser. Je le repousse gentiment.
Anuki : Tout ce qu'il s'est passé jusqu'à maintenant n'était qu'une inévitable erreur.
Zakarya : Si elle était inévitable c'est que ce n'était pas vraiment une erreur.
Anuki : Si tu préfères : c'était une grosse et pitoyable erreur !
Zakarya : Pourtant t'es bien là dans mes bras.
Anuki : Je sors avec la mort.

Zakarya : Quoi ?
Anuki : Je sors avec la mort.
Zakarya : Mais c'est pas possible ! Comment la mort pourrait avoir assez de cœur pour sortir avec une mortelle ?!
Anuki : ...
Zakarya : Ah oui, je comprends... Qui ne pourrait pas tombé amoureux de la plus belle fille de ce monde ?
Anuki : Arrête de dire des bêtises !
Zakarya : Mais c'est la stricte vérité !
Anuki : Tu vas me faire craquer... Si je romps avec la mort... je vais mourir.
Zakarya : Pourquoi ?
Anuki : Parce que... c'est la mort ?
Zakarya : T'inquiètes pas, je serais toujours là pour toi.
Anuki : Merci.
Je n'ai pas pu résister bien longtemps, je me suis littéralement jeté dans ses bras et l'ai embrassé tendrement.

On s'est rhabillés puis on est rentré chez lui. Sur le chemin, la ville ressemblait à une ville fantôme mais au moins c'est sur que personne ne nous a vu hier et ce matin dans l'étang. Le soir, nous sommes retournés près de l'étang. Cet endroit, nous l'avons adopté. C'est tellement beau. Mais à peine arriver, que du brouillard apparaît sur le sol ainsi qu'une aura maléfique noir. D'une seconde à l'autre la mort apparu devant nous.
La mort : Ma chère Anuki...
Anuki : Tu en as mis du temps.
La mort : C'est plus drôle de se faire attendre.
Anuki : Tu vas me tuer ?
La mort : Non pas tout de suite. Je préfère te voir bien souffrir avant !

Cher journal,
11 / 07 / XX10 - 2 ans se sont écoulés. Zakarya et moi vivons heureux dans la maison que nous avons construite près de l'étang et la ville se repeuple petit à petit. Je n'ai pas de quelconque problème avec la mort. Zakarya est entré dans la police et a blanchi mon CV. De mon côté, je me suis mise au chant. Et je viens de passer, une fois de plus, une nuit inoubliable, dans l'étang.

01 / 08 / XX10 - Ce matin je me réveille avec des nausées. J'ai tout de suite pensé à la nourriture de la veille qui a du mal passé. Mais les jours passent et je vomis de plus en plus. Je pense alors à une gastro bien que je n'ai pas de fièvre et que je me sens simplement ballonner. Je préfère alors demander à Zakarya d'appeler le médecin.

15h - Le médecin arrive, je l'attends dans mon lit. Il m'examine, m'observe, me sculpte, me prends la température, etc. Puis s'en va prendre quelque chose dans son sac.
Médecin : Hum.. allez essayer ceci.
Je prends ce qu'il me tend et m'en va dans la salle de bain. Une fois à l'intérieur, je regarde ce que s'est ; un test de grossesse.

Je suis étonnée et commence à avoir peur. Plusieurs questions se bousculent dans ma tête. Suis-je prête à avoir un enfant ? Comment réagirait Zakarya ? Nous n'avons jamais abordé ce sujet. Pourrons-nous nous en occuper comme il le faut ? Un "toc" stoppa mes pensées.
Médecin : Ça va ? Vous y arrivez ?
Anuki : Euh oui oui, tout vas bien.
Je m'empresse de faire ce test, et attends je verdict...

Positif. Je ne sais pas si je devrais me mettre à sauter de joie ou à m'effondrais en pleurant. Je sors de la pièce et m'assis sur le lit, le regard vide. Le médecin regarde le test.
Médecin : Toutes mes félicitations mademoiselle, vous êtes enceinte depuis 3 semaines.
Le médecin me tapote l'épaule avant de sortir et de dire à Zakarya :
Médecin : Vous pouvez entrer, toutes mes félicitations, jeune homme. Je vous envoie la facture par fax.
*PDV Zakarya* Je suis resté perplexe quelques secondes avant de courir voir Anuki dans la chambre.
Zakarya : Anuki ?! Ça va ?! Qu'est ce qu'il t'arrive ?!
Elle s'est levée du lit, le regard vide et s'est approchée de moi en me regardant bien droit dans les yeux.
Anuki : Je suis enceinte.
Enceinte ? Nous allons avoir un enfant ? Comment réagir à cette nouvelle ? Etait-ce bien ou mal ? Devais-je sourire ou me mettre en colère ? J'étais perdu. Puis je lu dans ses yeux, que elle aussi, j'essayai alors de trouver les bons mots pour la rassurer.
Zakarya : Ne t'inquiète pas, peut importe le choix que tu veux prendre, le garder ou non, je serai toujours là pour toi et je te suivrai dans toutes tes décisions.
Anuki : Merci.
Je la pris dans mes bras.

*PDV Anuki* 11 / 07 / XX11 -  Cher journal,
Déjà 6 mois se sont écoulés, j'ai décidé de garder le bébé et ma grossesse se passe à merveille. Nous avons aménagé une petite chambre pour notre future petite fille. En bref, Zakarya et moi sommes heureux. Mais en ce 1er jour du 6ème mois, je sens des contractions. Mon ventre crispe et me fait mal. J'ai des sueurs froides, ma tête commence à tourner. J'appelle immédiatement Zakarya avant de tomber dans les pommes.